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Bonheur et famille recomposée

mai 25, 2019

Il arrive assez fréquemment que des personnes me questionnent et me demandent des conseils sur ma gestion de notre famille recomposée. 

Comment y arrives-tu ?  

Comment fais-tu ?

Je sens souvent beaucoup d’angoisse. Et à tout vous dire c’est un sentiment que j’ai souvent partagé ! 

C’est normal me direz-vous, cette incroyable révolution sociétale  des familles recomposées, touche de plus en plus de monde : 3 adultes sur 5 élèvent ou ont élevé au cours de leur vie un enfant qui n’est pas le sien.

Comment trouver le bonheur, lorsque par définition la composition de cette nouvelle famille est basée sur un ou plusieurs échecs ?

-Ceci dit en passant, parfois certains divorces sont finalement des réussites en évitant à de nombreux couples de rester enfermés dans un véritable cauchemar !-

Toutes les personnes qui se mettent en couple quand l’un ou les deux possèdent des enfants,  ne peuvent le faire que s’il y a eu séparation ou décès .

Voyez , ce n’est pas très gais !

Mais je pense pour ma part que c’est un point très important à accepter si l’on souhaite trouver une certaine sérénité dans cette nouvelle étape de votre vie.

En tout cas c’est ce que j’ai fait.

Mon chéri a coutume de dire et je trouve qu’il a tellement raison «  on ne refait pas sa vie, on la continue ». 

En effet le premier piège dans lequel il ne faut surtout pas tomber à mon sens, c’est d’imaginer que dès lors que nous reformons un couple , que les compteurs sont remis à zéro, que ce nouveau couple et la famille que nous sommes en train de construire sont « purs » , « sacrés » comme il l’aurait été  si l’on s’était connu en premier, sans les enfants.

Quelle erreur ! 

Même s’il peut sembler pour certain normal de vouloir être l’unique, le ou la plus aimée , ce qui à mon sens n’est pas important car on ne peut jamais vraiment le savoir, je me suis toujours dis qu’il fallait que je m’engage dans cette aventure en sachant profondément que la famille que nous étions sur le point d’essayer de former, resterait la composition de deux anciennes familles séparées, avec tout ce que cela comporte : les déceptions vécues, les bonheurs passés et les premières fois sans vous, les trahisons, les ex, les belles familles , les amis , voir même un certain visage de notre nouveau ou nouvelle chérie que vous ne voudriez pas voir etc…

Je ne sais pas et ne saurais peut-être jamais vraiment, si ce que nous avons mis en place, notre tribu à 8 aura été une réussite, mais je suis fière et heureuse de nous. En effet, même si la vie n’est pas tout les jours rose et que nous sommes passés par de fortes tempêtes, l’équilibre que nous avons mis en place est très souvent une source de bonheur pour David et moi. J’en ressens beaucoup de gratitude.

Je suis heureuse entre autre d’avoir offert à mes deux premiers enfants la chance de partager ce lien si spécial avec mon amoureux David qui est devenu mon mari, ses trois premiers garçons , qui peu importe ce que la vie nous réservera feront partie à tout jamais de leurs vie et de la mienne. Puis bien sûr d’avoir donné le jour il y a 3 ans à Côme,  cette chance qui nous lie tous à jamais. 

Ceci étant dit, la famille recomposée est une aventure difficile, qui malmène les couples et j’en suis très consciente. Je n’ai pas trouvé de statistiques sur la séparation des familles recomposées, mais concernant les couples en général, ils se séparent proportionnellement plus lors d’une seconde union…

Oupsss..

En même temps comment imaginer que les choses puissent se passer de manières sereines et harmonieuses ?

Les histoires de chacun sont différentes, et le bagage émotionnel n’est pas le même.

Aucun ne possède les même goûts, les mêmes habitudes. Aucun ne suit les même règles éducatives ?

Comment attribuer les chambres ? Qui paie quoi ? Qui fait à manger ? Qui lave le linge ?

Je ne parle pas ici de l’impact du mode de garde, et des potentiels différences entre le couple : l’un les a à 80 %, l’autre 50-50 . Et donc le sentiment très étrange de devoir s’occuper des enfants de l’autre alors que les seins ne sont pas là.

De notre côté c’est tous les deux du 50-50 et nous les avons les mêmes jours de la semaine, ce qui est un très grand confort j’en suis consciente, mais le problème se pose pourtant parfois un niveau des vacances et des grands occasions : Noël, Pâques etc.. 

Dois-je également aborder le sujet des ex qui consciemment ou inconsciemment ne veulent pas se laisser oublier, qui peuvent parfois  avoir l’intention de ne pas laisser si facilement ce nouveau bonheur s’installer sans eux…

Enfin et c’est certainement le plus difficile à gérer,  la difficulté pour les enfants de voir surgir un beau parent, et leurs différentes tentatives de faire partir cette personne, ou de lui rendre la vie compliquée. Comment gérer l’angoisse qu’ils ressentent à l’idée que ce beau parent vienne voler l’amour de leur père ou de leur mère ? 

Non ce n’est pas simple ! 

Je vais donc essayer de partager certains repères et constats qui m’ont beaucoup aidé durant ce 7 dernières années. 

1- Trouver sa place

Tout d’abord, je me suis aperçu avec le temps que je ne pouvais pas vouloir les même choses pour mes beaux-enfants que pour les miens :

En effet, je me suis investie au départ auprès d’eux de la même façon que pour les miens.  Les repas, les devoirs, les soins, les cadeaux, le linge, le shopping, les déplacements, l’éducation. Je ne voulais surtout pas que les enfants puissent ressentir un sentiment quelconque de différentiation, de favoritisme. Mais quelle erreur !

J’ai compris un peu tard, mais ce n’est pas grave car j’ai finis par le comprendre, que le rôle d’un beau parent et surtout le rôle d’une belle-maman est très compliqué : nous sommes dans une situation où nous devons nous occuper des enfants, mais nous ne sommes pas légitimes à le faire.

Les enfants par définitions sont loyaux envers leurs parents et en particulier au parent qui a été quitté ( je vous recommande en cela l’excellent livre de : «  les Loyautés »  de Delphine de Vigan) , donc malgré leur propres opinions ils ne peuvent accepter de façon positive ce qui vient de du beau parent, par effet miroir de leur autre parent.

Et, c’est accentué à mon sens si vous êtes une femme. 

Et finalement c’est tellement normal ! Comment pourraient-ils admettre que cette femme puisse mieux s’occuper d’eux ? Qu’elle soit plus ou moins jolie, gentille, cuisinière, drôle ?  Les enfants par définition comparent. Je ne peux pas pour ma part leur en vouloir.

Donc parfois le seul moyen qu’ils ont de gérer cette souffrance et de s’exprimer maladroitement ( parfois très très maladroitement ! ), ou de refuser ce que vous leur proposez.

Cela peut créer des situations très compliquées entre tous les enfants d’une famille recomposée, car des tensions peuvent apparaître entre fratrie, sur le comportement d’une fratrie par rapport au parent de l’autre.

Voici ce que j’ai finis par comprendre et mettre en place : le beau parent n’est pas un copain ou un égal mais un adulte sur qui il peut compter !

Je n’interviens jamais quand aux grandes décisions éducatives, et renvoie la balle au papa ou dans certains cas à la maman pour prendre les décisions. 

Cependant, j’ai beaucoup réfléchi sur les concessions que j’étais capables d’accepter en terme de règle ou de philosophie de vie. J’ai également listé les choses que je souhaitais profondément mettre en place, des choses si structurantes chez moi que les oublier me serait , ou serait pour mes enfants préjudiciable.

Ce socle doit forcement être suffisamment souple pour accepter celui de la personne que l’on aime. 

Une fois ce socle conçu et encré ( il arrive qu’il soit mis à dure épreuve, croyez moi ! ) , je me suis mise à être plus sereine au quotidien.

Si parfois je ressens de la déception si un enfant refuse de gouter ce que je lui prépare, de m’écouter ou m’envoie un pique un peu désagréable,  je me dis qu’il ne s’agit pas finalement de moi, je respire profondément, et passe à autre chose. Et quand je dis passer à autre chose, c’est réellement : je lui dis que c’est dommage en gardant le sourire , puis je change de sujet complètement et essaie de l’emmener sur un sujet qu’il aime bien.

2 – Définir un socle

Autre astuce : tous les enfants sont différents et ne peuvent prétendre aux mêmes choses. En effet, même dans une fratrie classique, la différence d’âge, peuvent déjà naturellement expliquer que certains aient plus de droit que les autres.

Les profils sont d’autant plus différents lorsque les familles se recomposent, alors nous avons admis que nous devions adapter les règles en fonctions des profils de chaque enfants ( cela devient plus que nécessaire arrivé à l’adolescence ! ). Mais nous avons mis en place un minimum garantie, sur lequel il n’y a aucune négociation possible : comme aider au lave vaisselle, le rangement, le respect et la politesse etc.. 

Pour d’autres sujets plus compliqués, c’est le Parent qui traite au cas par cas.

Je pense pour ma part que les enfants souhaitent que nous fassions attention à eux, que de ne pas les accompagner, les conseiller, voir les sermonner , peut donner une impression de délaissement, et à l’inverse une trop forte présence peut donner une impression de harcèlement.

C’est donc important de parler, avec les enfants et la personne que l’on aime.

3- De la bienveillance

Ne jamais critiquer son ex avec le beau parent quand les enfants sont à la maison ! En effet les enfants étant loyaux envers leurs parents, et même si la critique est fondée, amène les enfants à se sentir critiqués eux -même et c’est catastrophique pour votre relation. Soyez bienveillants !

4- Du partage des chambres ..

Demander aux enfants leurs avis tant à la répartition des chambres, qu’ils aient chacun la leur ( c’est l’idéal  ) ou qu’ils aient à les partager.

5- Ne pas forcer les choses

Ne pas obliger les enfants à s’aimer entre eux, mais à se respecter. Chacun d’entre eux feront leur propre chemin et sont souvent plus attachés à leurs demi-frère ou demi-soeur que nous l’imaginons !

6- Faire un bébé !

Je plaisante … à moitié ! Lorsque notre petit dernier est né, la famille s’est vraiment unie! 

Cette arrivée avait crée beaucoup d’inquiétudes pour certains de nos garçons, et même du refus. Nous avons dû les accompagner sans rien leur imposer sur leurs ressentis.  

Ils ont évoqué beaucoup de crainte : «  Quel nom de famille va t il porter , ce ne sera pas le mien ! Est ce qu’on sera vraiment frère ? Que se passera-t-il si un jour vous vous séparez ? »

Les réponses paraissent difficiles, alors qu’en fait le plus simple est de le dire de la façon la plus sereine possible.

Je peux vous dire que ce n’est pas simple quand vous êtes gonflée aux hormones de la grossesse ! Mais lorsque bébé est né, nous étions tous réunis et toute les craintes se sont envolées. 

J’ai fait aussi très attention de leur permettre à tous de s’en occuper très vite ( j’ai parfois eu certaines frayeurs , lol ! ) mais je trouvais très important qu’ils s’approprie cette fraternité.

Au final,  et même si la vie de famille recomposée n’est pas simple ( c’est tout l’inverse d’ailleurs  ! ) , je suis fière, nous sommes fiers de la notre. 

Il nous arrive souvent de ressentir des coups de mou, mais juste après c’est beaucoup d’amour !

J’espère que ces petits conseils vous auront aidé, en tout cas n’hésitez pas à me le dire, soit en commentaire , soit sur mon Instagram ! 

Bonheur : comment la gratitude a changé ma vie !

mai 14, 2019

« La façon dont nous profitons de nos journées est évidement la façon dont nous profitons de notre vie »

Annie Dillard

Dans cet article, une première sur Plume et Caramel, je partage avec vous les bienfaits que la gratitude sur moi, je vous en donne ma définition et les 8 bonnes raisons scientifiquement prouvées de l’adopter.

Certainement que pour quelques chanceux, la gratitude est une qualité qui les accompagne depuis leur plus tendre enfance, probablement bercés par un entourage initié à celle-ci.

Mais pour ma part j’ai l’impression d’avoir dû, de façon inconsciente apprendre la gratitude,  poussée par une envie irrésistible de bonheur. Ce bonheur sans lequel je me sens si étrangère de celle que veux être.

Ainsi dans la première partie de ma vie je me suis accrochée à cette gratitude comme une bouée de sauvetage.

Chaque moment que je vivais devenait à mes yeux, une belle histoire, une chance sur laquelle j’ai bâti mon chemin de vie et ma personnalité.

Puis j’ai appris à la cultiver, à la faire grandir. Car tout ceci est un cercle vertueux : plus vous ressentez de la gratitude, plus vous êtes heureux, et plus vous êtes heureux plus vous ressentez de la gratitude, c’est magique !

Je la pratique donc tous les jours, même dans les moments les plus difficiles. Cela peut parfois déstabiliser mon entourage, mais j’essaie de tirer du beau et  de la reconnaissance dans tout ce que je vis ou fais.

«  La gratitude peut transformer votre routine en jour de fête » 

William Arthur Ward 

Ma définition de la gratitude :

La gratitude c’est à mes yeux à la fois un sentiment, une émotion , une action consciente .

Lorsque je ressens de la gratitude, c’est que je suis en trait de souligner un moment de ma vie, de l’apprécier, d’en tirer du plaisir, du contentement. Mon corps et/ou mon esprit remercient.

La gratitude c’est aussi pour moi, l’action de remercier intérieurement ou extérieurement  et de manière sincère le plaisir, le contentement que j’ai ressentie. Je me souris, je profite.

La gratitude pour moi, c’est souvent le fait de me poser devant ce qui est beau, bon ou positif dans ma vie.

Comment la gratitude a -t- elle changé ma vie ?

Je suis devenue responsable de mes émotions !

Certainement influencée par cette grande révolution qu’a été l’invention de la psychologie positive au début des années 2000 ,j’ai pris conscience de ma responsabilité dans la gestion de mes émotions, mais surtout de ma propre responsabilité sur mes émotions ! 

Ce que je fais ressortir de ma vie, ce n’est que moi, Céline qui en donne la valeur, qui en fais ressortir un sentiment : le vent dans mes cheveux au bord de l’océan , le sourire de mon mari, un retard d’avion, la mauvaise humeur du voisin, le chahut des garçons ..

Une de mes incroyables découvertes, c’est que tout ce que je pense est influencé par ce que j’ai déjà vécu. J’interprète donc inconsciemment tout ce que je vis. Pour le meilleur et pour le pire d’ailleurs ( mais peut-être que je vous en dirais plus dans un autre article ).

J’ai donc décidé avec le temps ( ça ne c’est pas fait en un jour pour moi ! ) de me concentrer, de « surligner » ce qui me faisait du bien, ce qui me rendait heureuse ou simplement ce que je trouvais beau.

La photo a très vite était un moyen ( pas une fin en elle même ) , je me suis mise à prendre en photo les choses pour lesquelles je ressentais de la gratitude. Les gens que je rencontrais dans mes voyages, les paysages, les gens que j’aimais.  Ces instants, ces émotions telles que je les avais capturées, pouvaient ainsi m’accompagner et je pouvais également les partager.

Je suis allée chercher des émotions qui me portaient : serrer quelqu’un dans mes bras ou d’être serrée dans des bras ( il parait que ça augmente le taux d’ocytocine … ) ,écouter de la musique ,  celle que vous repasser en boucle tant elle provoque de l’émotion en vous, faire des gâteaux, partager une activité avec une personne que j’aime, recevoir un massage, écouter les autres, être écoutée, faire des caresses etc…

Aujourd’hui et avec le temps, j’ai mis en place des petites routines personnelles, comme celle de chercher le plus souvent possible les éléments positifs qui rythme ma vie :

Un de mes enfants qui coure pour m’embrasser, une place de parking qui tombe à pic, le coup de téléphone «  juste pour t’embrasser de mon chéri », une fleur au bord de la route, un crise de rire entre collègues ou amis etc..  Je me dis qu’il y a toujours des raisons de se sentir joyeuse.

Ne vous méprenez pas, j’ai comme tout le monde des angoisses ( surtout depuis que je devenue maman ) et des tristesses. Je ne dis pas que j’ai parfois du mal à voir le bout du tunnel, mais je peux vous assurer que la gratitude, la bienveillance ( je vous en parlerais bientôt ) ,  et quelques trucs du quotidien ont fait de miracles sur moi, alors pourquoi pas vous ?

Les 8 raisons scientifiquement prouvées des bienfaits de la gratitudes

1- La gratitude nous rend plus heureux !

Christopher Peterson , professeur de psychologie à l’université de Michigan, a testé auprès de ses étudiants l’exercice de la lettre de gratitude qui consiste à écrire à une personne qui compte ou qui a comptée dans notre vie et de lui faire part de notre reconnaissance. Le résultat c’est révélé excellent :  non seulement les étudiants étaient plus heureux, mais cette lettre leur procurait une sentiment de bien être durable !

 2 – La gratitude rend optimiste ! 

Apprendre à exprimer sa gratitude, c’est apprendre à ne plus se concentrer uniquement sur les problèmes, sur ce qui ne va pas.  La pratiquer nous enseigne comment générer nos pensées positives, et donc de retrouver rapidement son calme lors de périodes de grands stress ou de grandes tensions.

3 – Ressentir de la gratitude augmente l’empathie 

Les études démontrent que ce sont les personnes heureuses qui sont les plus généreuses. La gratitude rendant les gens plus heureux,  c’est donc un cercle vertueux qui de met en place.

La gratitude ouvre les personnes aux autres, elle permets de redonner du lien et de la bienveillance.

4- La gratitude améliore la qualité du sommeil !

C’est l’un de mes mantras que je répète sans cesse à la maison : «  ne jamais se coucher fâchés » !

Les études de Robert Emmons, expert sur le sujet de la gratitude,  montrent que les personnes qui ont l’habitude d’exprimer leur gratitude avant de s’endormir, s’endormaient plus rapidement, dormaient plus longtemps et étaient plus en forme le matin !

5 – Améliore la santé  !

Les gens qui pratiquent la gratitude se rétablissent plus rapidement à la suite d’une maladie et sont en générale en bien meilleure santé. Le risque de maladie est moins élevé. Elle est bénéfique pour le coeur : une de Paul Mills de l’université de San Diego en Californie, a démontré l’impact bénéfique de la gratitude pratiquée par des patients souffrant de maladies cardiaques : baisse du rythme du rythme. cardiaque, baisse du risque de maladie cardiovasculaire .

6 – La gratitude face au stress, à l’anxiété et la dépression :

«  La gratitude bloque les émotions toxiques comme l’envie, le ressentiment , le regret et la dépression qui peuvent détruire notre bonheur » c’est Robert Emmons qui l’affirme. Il a prouvé également que le taux de cortisol ( l’hormone du stress ) se réduisait de 23% chez les personnes qui pratiquaient régulièrement la gratitude.

Des médecins de Massachusetts General Hospital de Boston ont testé des exercices de psychologie positive incluant la gratitude auprès de malades dépressifs, voir suicidaires : 90% des personnes ayant pratiqué ces exercices ont ressentie une influence positive sur leur dépression.

7- La gratitude améliore nos relations professionnelles et personnelles 

Exprimer sa gratitude de vive voix ou par un mail de félicitation, de remerciement auprès du collègue, d’un proche en début de journée change la vie. Cela permet d’être heureux soit même et aussi de consolider nos relations ,les personnes qui reçoivent ce message ressentant un sentiment de sécurité et de bien-être à notre égard.

8- La gratitude nous rend moins envieux !

Pratiquer la gratitude c’est se libérer de l’envie, car elle permet d’apprécier ce que nous avons. Les études montrent que les personnes qui pratiquent la gratitude, décrivent comme première source de bonheur chez eux leurs relations. La gratitude permet de devenir un peu moins matérialiste et plus satisfait de notre existence.

Je porte un tee-shirt de la marque Française et bio Suny
www.suny-suny.com

Je vous propose donc de réfléchir à ce qui vous rend heureux afin de vous essayer à la gratitude :

Qu’est ce que vous appréciez, aimez donc votre vie aujourd’hui ? Partager un repas , faire une séance de yoga, vivre dans un pays libre, être aimé, votre travail, le soleil du matin …

Vous allez voir à quel point la liste qui parfois à du mal à démarrer, devient avec le temps de plus en plus simple à écrire.

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Plume et Caramel est un blog personnel. Maman de trois garçons et belle-maman de trois autres , je suis entrepreneur et j'essaie de tout mon coeur de rendre la vie la plus belle possible. Je partage ici mes photos de recettes, voyages, vie de famille, DIY et décoration. Ici vous ne trouverez pas de mauvaise humeur, mais un petit bout de ciel bleu.

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